Je sais Couper et Bien Coudre « Revues 40’s » Couture, tracer Patron à ses Mesures
Bonjour, bonjour ! Regardez la couverture de ces petits trésors, des revues datant de la fin des années 40. « Je sais Couper et Bien coudre » C’est la première fois que je vois ce titre et donc ils rejoignent ma collection. Elles viennent directement d’une petite brocante à côté de chez nous ! J’ai trouvé une cinquantaine de numéros et tout un tas d’autres trésors ce dimanche, avec un petit coup de soleil sur le nez.
Ce sont vraiment des revues intéressantes qui permettent d’apprendre à tracer, couper et coudre un vêtement par numéro.
Malheureusement, je n’ai trouvé aucune information sur le web concernant ces ouvrages ! Si ce n’est qu’il était édité par « La coupe parisienne » qui vendait aussi des patrons pochettes. Je peux vous dire que ce sont de véritables trésors, faciles et clairs à comprendre. Cela ouvrait aux femmes un monde nouveau sur la mode. Chaque numéro paraissait mensuellement. Ainsi, au fil des éditions, celles-ci se sont largement enrichies. Je vais vous faire découvrir l’intégralité dans les semaines à venir.
Ma curiosité est piquée, là où le petit écho de la mode coutait 5 Francs l’unité, ici, nous avons un prix 10 fois plus cher. Donc, je ne pense pas que le même public était visé.
Je vais continuer mes recherches et je vous tiendrais informées en fonction de ce que je trouverais.
Béné’s News :
Les trois brocantes d’hier matin m’ont achevée… Quel plaisir de passer du temps en famille, de changer les idées aussi à ma fille qui passe le brevet demain. J’ai fait des heureux, avec des paniers pour les chiennes et les chats. Un petit cadeau pour le parrain de mon fils. Mais aussi du tissu et l’équivalent d’un sac cabas de revues vintage. J’aime aussi rencontrer des gens et parler avec eux. C’est toujours un bon moment.
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Paty
Coucou, Béné,
Quelle trouvaille !!!!!!
Effectivement, on dirait une revue visant une clientèle huppée. La rédaction est différente, le style également… De plus, cette éditions semble datée des années de guerre, puisqu’apparemment expatriée à Nîmes, si j’ai bien vu.
Très intrigant … elle n’a pas dû survivre très longtemps, clientèle trop particulière qui a dû vite se désintéresser des travaux manuels 😉
Bon brevet à ta puce, et bonne semaine 😀
Béné's Addict
J’ai jusqu’au numéro 50 avec quelques manques, ainsi que les cours par correspondance qu’ils faisaient à côté. Je pense que la clientèle devait être sans doute les couturières à leur compte.
Merci pour ma Pépétte, la première journée est presque finie
Rose Vacondio-Wolf
« Je sais couper et bien coudre » édité par « la coupe parisienne » – élégance et économie – Cette définition annonce déjà une certaine classe : les bobos d’aujourd’hui –
j’ai remarqué une inscription : « les abonnements sont suspendus jusqu’à une date ultérieure » et oui en temps de conflit mondial vivre ou survivre au jour le jour était obligatoirement de mise -et toute publication très surveillée voir censurée –
Perso je n’avais jamais entendu parler de ce magazine plutôt génial et très varié comme sujets abordés et leurs contenus : la mode, le tourisme, la cuisine la beauté et l’ensemble bien expliqué –
Cela devait s’adresser à une certaine classe de la population assez argentée donc de classe supérieure à l’ensemble des cousettes des maisons de couture ordinaires …
Remerciements Béné’s pour cette pépite et sa suite à lire vous allez régaler vos blogueuses visiteuses (eurs).
Béné's Addict
Je pensais même aux couturières à leur compte de l’époque. POur la mention pour les abonnements, elle n’apparait que sur le premier numéro. Rien que le prix, c’est déjà un indicateur de destination… Je les ai eus pour une bouchée de pain, mais j’imagine qu’à l’époque la clientèle était particulièrement ciblée. D’où le peu d’informations que je trouve sur le net.
Rose Vacondio-Wolf
Ce numéro est génial sera-t-il possible d’en avoir d’autres ?
L’institut de beauté « Latour » pratiquait l’esthétique avec une connaissance et un professionnalisme hors pair –
Rendez-vous dans un institut actuel ou une parfumerie pour un souci de peau et vous jugerez ce n’est plus cela ex : pour le soin profond des mains(car je pratique le jardinage) j’ai eu droit à un produit à acheter voilà ; alors qu’il me fallait un lavage, un gommage, un gant de paraffine et un masque pour mains comme cela se faisait d’antan et ainsi sortir avec les mains nickel et amincies – Aujourd’hui, Nous avons intérêt à nous armer d’une certaine connaissance et d’une habilité manuelle fine afin de pratiquer ce soin à la maison – Tout se perd ; Par contre aucune difficulté pour ouvrir son porte monnaie et acheter des produits quelconques mais nous n’obtiendrons pas le résultat escompté – Oh béné’s poursuivez bien vos publications car nous apprenons ainsi beaucoup de choses –
Béné's Addict
Merci beaucoup, oui, j’ai une cinquantaine de numéros que je vais décortiquer cet été. Aujourd’hui tout n’est que question d’argent dans les cosmétiques. Pour peu qu’on se penche un peu sur leur composition, on pleure. On peut prendre soin de soi avec des produits naturels et pas cher ou trés peu
« Je Sais Couper et Bien Coudre »Revues Techniques de 1947
[…] pas le 5. Je pense que c’est déjà un miracle que d’en avoir autant ! Après le Premier numéro, plusieurs rubriques sont […]