J’ Habille Mes Enfants, avec 60 Patrons Couture GRATUITS de 1948

Bonjour, bonjour ! Cette semaine, j’ai reçu une agréable enveloppe. En effet, une personne qui suit mon blog et particulièrement la rubrique Vintagerie, m’a envoyé un joli trésor. Merci beaucoup Sylvie pour cette délicate attention. Il s’agit d’un petit livre intitulé « J’ habille mes enfants » et date de 1948, imprimé par « les Éditions Montsouris ».

Mais si vous connaissez ! Ce sont eux qui ont lancé « Le Petit Echo de la Mode » en 1880. Ils ont été précurseurs avant l’heure. Cette revue était destinée aux mères de famille, mais aussi les femmes au foyer. Elles savaient lire, et étaient habiles de leurs mains, que ce soit dans la couture, mais aussi le tricot, et tous les autres loisirs créatifs d’aujourd’hui. Ce qui était pour elles une nécessité, là où maintenant c’est la plupart du temps un loisir.

Donc ce petit Livret de plus de soixante pages nous enseigne l’art d’habiller les enfants. Plus précisément, il contient une soixantaine de patrons de couture, et quelques modèles à tricoter de la naissance à douze ans. Mais aussi des astuces pour transformer les vêtements, et même pour réaliser des chaussures pour les petites têtes blondes. Que l’on peut maintenant transposer pour adultes aussi.
J’ai bien détaillé les differentes page afin que vous puissiez les imprimer facilement et seulement ce que vous avez besoin.

Béné’s News :

Il est des jours où un petit geste vous réchauffe le cœur… Comme la réception de ce trésor et du petit mot qui l’accompagnait.

Assez fatiguée, par les crises de douleurs et des allergies persistantes…

Nous entamons la deuxième semaine des vacances et le jour de la rentrée ma fille de presque 15 ans part en Allemagne pour une semaine.

Un jour à la fois.

Place au plaisir vintage.

 






















































































































































































J’ Habille Mes Enfants, avec 60 Patrons Couture GRATUITS de 1948