Bonjour, bonjour ! Regardez ce que j’ai pour vous ! Une nouvelle revue Couture avec un prix raisonnable ! J’adore son petit nom « Cocotte ». C’est une revue à 100 % Française !
Je trouve ça absolument génial, de voir des nouveautés qui ne viennent pas de grands groupes ! C’est plus authentique selon moi.
Alors, voici ma revue de presse !
Béné’s News :
Ma pepette de 14 ans, bientôt 15, a pris le relais de son frère, une grosse laryngite… Traitée avec de la cortisone et un traitement de fond pour une toux qui va et vient depuis avril dernier où elle a eu la covid… Affaire à suivre, car ça peut devenir de l’asthme… Il ne lui manquerait plus que ça…
Bref, je ne vous cache pas que ça m’a fait un coup au moral… En plus, la semaine dernière, nous sommes allés aux portes ouvertes du Lycée dans lequel elle veut aller pour faire un cursus Euro anglais ou allemand.
Un jour à la fois…
Mon avis sur la couverture
Je trouve toujours très pratique d’avoir le nom de la revue, ainsi que le numéro sur la tranche ou au bord comme ici. Pour classer ou trier, c’est plus simple.
Ce joli macaron en forme de fleur nous informe que nous avons 13 patrons dans cette revue. Mais surtout qu’ils sont à taille réelle. Mine de rien, c’est toujours préférable plutôt que d’avoir à l’imprimer au format PDF ou pire le retracer.
J’adore le lettrage choisi, avec la première lettre qui se voit doter d’un fil qui serpente et forme les barres de la lettre T. Notez aussi les petites surpiqures, vraiment couture, je trouve !
Ici, nous avons le bloc titre nous indiquant le thème de la revue. Celle-ci est dédiée à la couture du dressing de printemps.
Découvrez, Anne Sarah, la créatrice d’Artésane, mais si vous connaissez. Comment gère-t-elle ses journée et son planning ?
D’autres découvertes, en tout cas en ce qui me concerne avec Jolies Bobines et Ten Years Apart . Il s’agit de deux blogueuses mode et couture.
Je crois que toutes les couturières hackent les patrons dans le sens ou on y apporte des modifications et des transformations. Pourquoi se cantonner à une version alors qu’il est facile de modifier et de créer SA mode.
Rubrique très intéressante et utile avec des idées et des explications afin de « Recycler » nos vêtement pour leur donner une seconde vie.
Pourquoi pas créer une collection capsule avec un patron de base à décliner dans toutes les longueurs pour avoir des crop-tops , mais aussi des tops ou des robes ! Si vous voulez en savoir plus sur La garde-robe Capsule suivez le lien.
Le patron love est un modèle de sac avec un ruban de plumes. C’est superbe, mais si j’en réalise un, mes chats seraient capables de me le piquer !
Les modèles
Tailles 36 au 44 patrons à retracer, très facile, car un rectangle
Tailles 36 au 46 , il s’agit du patron du plastron
Le tableau des tailles
Mes coups de cœur
Simplicité et efficacité sont au rendez-vous pour ce modèle de jupe. J’adore le simili de couleur cuivre qui lui donne beaucoup de tenue et de cachet ! La taille est réalisé façon paper-bag avec un élastique. Elle est fendue sur le milieu devant.
J’aime beaucoup la version avec volant de la veste sans manches. Les grandes poches obliques ajoutent de la fantaisie. Elle se ferme à l’aide d’une ceinture.
Le sac-banane revient en force. Il faut savoir reconnaitre que c’est le modèle parfait pour avoir les mains libres, mais surtout accéder à son contenu en un clin d’œil ! Ici, nous en avons une version XXL.
Mes découvertes
J’ai découvert le terme « Visible Mending » c’est une technique ou les reprises et les raccommodages se transforment en broderie visible.
Les petits plus
Comment recycler sa garde-robe, retrouvez des pistes dans la revue.
Les petits moins
Le tableau des tailles ne va pas jusqu’au 46. Certes, on peut faire le calcul, mais tout le monde n’a pas le réflexe de le réaliser.
La couverture est à mon goût trop chargée en information, et laisse peu de mystères.
Conclusion
Cette revue Cocotte est très prometteuse. Je pense qu’elle va apporter un peu de fraicheur et de spontanéité dans le monde de la couture. Je lui souhaite une très longue vie ! Je l’ai trouvé chez mon marchand de journaux.
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